Pourquoi investir en loi Pinel sur Caen et comment défiscaliser
La Loi Pinel est un dispositif de défiscalisation qui permet aux acheteurs d’un bien immobilier de bénéficier d’une réduction d’impôt sur leur revenu. Cela peut être une bonne option pour les personnes souhaitant acheter un appartement à Caen, car cela leur permet de réduire le coût de leur investissement en immobilier tout en contribuant à la revitalisation de certaines zones de la ville. Cependant, il est important de noter que pour bénéficier de cette réduction d’impôt, il faut respecter certaines conditions, notamment en matière de location et de durée de détention du bien. Il est donc conseillé de bien se renseigner avant de choisir d’investir dans un appartement en Loi Pinel à Caen.
Qu’est ce que le dispositif Pinel à Caen ?
La loi Pinel est un dispositif de défiscalisation immobilière en France qui permet aux investisseurs de réduire leur impôt sur le revenu en achetant un logement neuf et en le louant. Ce dispositif est disponible dans les zones éligibles, dont Caen fait partie. En achetant un logement à Caen en loi Pinel, vous pourrez bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu pouvant aller jusqu’à 21% du montant de votre investissement, sous certaines conditions. Si vous êtes intéressé par la loi Pinel à Caen, je vous recommande de vous renseigner auprès d’un professionnel de l’immobilier pour en savoir plus sur les conditions et les avantages de ce dispositif.
Qu’en est-il du marché immobilier caennais pour investir en loi Pinel ?
Secteur centre ville
Dans ce secteur particulièrement prisé par les personnes agées, les jeunes couples avec un enfant et les célibataires, les appartements qui constituent l’essentiel de l’habitat se paient entre 2000 euros le mètre carré dans les immeubles des années 70 sans grand charme et 2900 euros le mètre carré pour l’ancien bien rénové et le récent. Contraitement aux studios, aux deux-pièces et aux trois pièces, les grands appartements présentent une durée de commercialisation un peu plus longue. Les rares maisons – des demeures XIXe de 150 mètres carrés minimum regroupées près du jardin des plantes et de l’université – valent au moins 350 000 euros, et les plus grandes, avec 500 à 1000 mètres carrés de terrain, plus de 600 000 euros.
Secteur Saint-Ouen
De grandes villas des années 70 à plus de 600 000 euros. Impossible de dénicher un appartement au-dessous de 2000 euros le mètre carré dans ce quartier riche en commerce. Par exemple, dans une résidence de standing années 70, un 65 mètres carrés doté d’un parking a été vendu 140 000 euros, soit 2150 euros par mètre carré. Rares, les surfaces d’au moins 100 mètres carrés avec de belles prestations dans des résidences de qualité se vendent au-delà de la cote, autour de 2500 eurls le mètre carré. Les belles villas des années 70 d’au moins 250 mètres carrés, chères elle aussi, se cèdent à partir de 600 000 euros. Les gros budgets pourront viser les maisons d’architecte plus récentes, dont l’une, bâtie dans les années 90, de 300 mètres carrés, avec 1 300 mètres carrés de terrain et un double garage, s’est négociée à 900 000 euros.
Secteur Beaulieu
Entre 2100 et 2200 euros le mètre carré pour du récent. C’est l’endroit idéal pour acheter un appartement récent. Etiré le long du boulevard Georges-Pompidou, ce quartier a fait l’objet depuis quelques années de nombreux aménagements avec la construction d’écoles, de commerces et d’immeubles de bon standing qui attirent de jeunes cadres en nombre. Les prix ? De 2100 à 2200 euros le mètre carré. Ainsi, un 57 mètres carrés, au dernier étage d’un immeuble du début des années 90, s’est vendu 2160 euros le mètre carré. La facture grimpe à 2500 euros le mètre carré, parfois plus, quand le bien a moins de 5 ans : ce 63 mètres carrés bien exposé d’une résidence récente s’est vendu à 2540 euros le mètre carré. A noter : au sud du quartier, le mètre carré dans les immeubles des années 70 se négocie souvent de 1800 à 1900 euros.
Secteur Rive droite
A dix minutes du centre, le mètre carré à partir de 1300 euros. Ce grand périmètre au sud de l’Orne est le moins coté de Caen. Mais ce quartier a fait l’objet sur les dernières années de nombreux aménagements, notamment aux abords de la gare; ainsi que la proximité du centre (dix minutes à pied) le désignent à la convoitise des chasseurs de plus-values. Pour l’instant, les appartements de la reconstruction et des années 70 valent de 1300 à 1600 euros le mètre carré. Par exemple, près du boulevard du Maréchal-Lyautey, un 56 mètres carrés en bon état avec garage, est parti à 86000 euros. Souvent mal entretenues, les maisons de 100 mètres carrés avec jardinet se monnaient aux environs de 200 000 euros. Rue de Falaise, une bâtisse en pierre de Caen de 130 mètres carrés entourée de 650 mètres carrés de jardin a été cédée 235 000 euros seulement : elle a pourtant beaucoup de cachet et la transaction comprend un studio attenant de 30 mètres carrés. Bon à savoir, autour de la rue de l’Arquette, quelques maisons se vendent à des prix dignes du centre-ville. Ainsi, rue de Branville, celle-ci de 93 mètres carrés, sans garage, a été payée 250 000 euros.
Secteurs Mémorial / Couvrechef
Deux quartiers voisins, deux gammes de prix. Tablez sur un budget moyen de 2100 euros le mètre carré dans l’un des nombreux immeubles modernes et de qualité du Mémorial, un secteur aéré, commerçant et bien relié au centre-ville par les transports collectifs. La facture grimpe parfois au-delà de la cote pour les plus récents et les petites surfaces. Par exemple un 30 mètres carrés années 90 à 2460 euros le mètre carré. Les plus sont nettement plus doux à Couvrechef, où l’on trouve maisons et appartements pour la plupart des années 60 et 80 : entre 1600 et 1900 euros le mètre carré correct mais sans charme, comme cette maison de 110 mètres carrés, avec 300 mètres carrées de jardin, à 195000 euros.
Secteurs Clémenceau / Saint-Gilles
Au moins 200 000 euros pour une maison de ville. Ces deux quartiers de part et d’autre de l’avenue Georges-Clemenceau, d’où l’on peut rejoindre à pied l’hypercentre et sortir rapidement de la ville pour gagner Ouistreham, Cherbourg et Paris, offrent un habitat varié des années 70 à 90. Les prix ? De 1900 à 2100 euros le mètre carré en fonction de la qualité de l’immeuble et surtout de la distance avec le centre. Ainsi par exemple un 65 mètres carrés, sans ascenseur mais avec un balcon et parking, s’est vendu 140000 euros au coeur de Clemenceau, et un 98 mètres carrés, un peu excentré et à rafraîchir, avec deux greniers, à 187 000 euros, à Saint-Gilles. Pour une maison de ville mitoyenne, il faut prévoir au moins 200 000 euros. Les pavillons sont souvent plus chers, il faut compter aux environs de 300 000 euros pour un 130 mètres carrés avec 750 mètres carrés de jardin.
Secteur Hérouville-Saint-Clair
Les maisons du bourg à 220 000 euros environ. Les prix ont augmenté de 15 à 20 % dans cette commune de l’ouest réveillée par la ligne de tramway qui mène au centre de Caen. Dans les grands ensembles des secteurs des Belles-Portes, de la Gande-Delle et du Bois, la facture reste accessible : entre 1300 et 1500 euros le mètre carré, comme par exemple un 74 mètres carrés vendu 105 000 euros aux Belles-Portes. Là, il y a aussi quelques maison de 110 mètres carrés à environ 180 000 euros. La cote grimpe dans les quartiers plus anciens, le Bourg et Montmonrency : une maison de 110 mètres carrés avec garage et 400 mètres carrés de terrain s’est vendue 220 000 euros. Pour du neuf ou du récent, il faut se pencher sur le secteur de Lébisey, en sachant que les prix sont élevés vers le golf de Caen. Pour un pavillon de 150 mètres carrés, il faudra compter au moins 450 000 euros, et autour de 500 000 avec vue directe sur le golf.
Secteur Mathieu
Une maison bourgeoise du XVIIIe pour 950 000 euros. La moindre maison s’échange à 230 000 euros dans cette commune entre Caen et la Manche. Une clientlèle de cadres et de professions libérales apprécie ses écoles, ses commerces et son habitat de qualité : pavillons et maisons anciennes de bon standing ou très bien réhabilitées. Pour un pavillon sans mitoyenneté, les prix dépassent couramment 300 000 euros. Par exemple, comptez 328 000 euros pour l’un d’eux en parfait état, de 120 mètres carrés, agréablement situés. Quand elles sont mises en vente, les maisons bourgeoises partent à prix d’or. Une demeure XVIIIe de 200 mètres carrés ceinte de 1500 mètres carrés de terrain et de dépendances, en plein coeur de Mathieu, s’est vendue 950 000 euros.